” […] Ce devait être le clou de la soirée avec un spectacle conçu pour les Nuits d’Afrique et de nouvelles chorégraphies. Ces artistes sont spectaculaires au possible. On a pu le voir à l’heure du souper lors des dernières années et pour la première fois, ils étaient programmés à la fin de la soirée.
À cause de la météo, le Parterre était rempli à moitié, mais cela n’a pas nui à l’ambiance. Ici encore, un saxophone aux longues lignes lentes se pose sur la batterie avant qu’une chanteuse ne lance ses premières notes envoûtantes.
L’action finit par s’installer : une sorte de grand oiseau humain apparaît, des gens masqués font des gestes presque au ralenti et d’autres commencent les culbutes au sol. Ils se lanceront dans les airs en tournant sur eux-mêmes à deux mètres de hauteur. […]”
Source originale: https://www.ledevoir.com/culture/musique/445535/un-dernier-dimanche-aux-nuits-d-afrique
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